8 conseils pour créer son entreprise

Article publié le 27 avril 2018
creer entreprise

Vous êtes salarié porté ou songez à le devenir ? Vous avez donc l’âme d’un entrepreneur ! Travailler en freelance requiert audace et créativité, mais aussi et surtout optimisme ! Comment cultiver ce moteur de réussite ? Quelques clés «signées» Altros…

Voir, toujours, la vie du bon côté n’est pas une mince affaire ! Comme l’explique la coach Nadège Bredoux, fascinée par l’humain et son potentiel de transformation, «le naturel humain penche naturellement vers le négatif». En un mot, le pessimisme… c’est inné ! Avez-vous remarqué combien nous retenons plus facilement les points négatifs, même si, en volume, les informations positives prédominent ? Le pessimisme serait donc, comme le souligne le philosophe Alain, «d’humeur», tandis que l’optimisme serait «de volonté». Il ne tiendrait donc, qu’à nous, de ne plus focaliser sur nos faiblesses et de rester confiant dans la tempête ! Oui, mais comment ?

8 pistes pour cultiver l’optimisme si précieux pour entreprendre !

Clé n°1 : libérez-vous de vos croyances négatives.

La perspective d’une nouvelle mission vous rend nerveux et le doute vous assaille ? Rien d’insurmontable ! Pour Martin Seligman, fondateur de la psychologie positive, «nos croyances sont simplement de mauvaises habitudes de pensées produites par des expériences désagréables du passé». Apprenez à faire taire cette petite voix rabat-joie qui vous souffle que vous n’y arriverez pas. Comment ? En prenant conscience que vous avez grandi et acquis des compétences. En vous appuyant sur vos petites réussites. En passant du cercle vicieux au cercle vertueux ! Gardez en tête que nous abritons tous, en nous, une énergie positive qui ne demande qu’à être activée et canalisée.

Clé n°2 : réglez leur sort à vos regrets.

Erreur d’orientation, ambitions déçues… Il est des regrets qui squattent notre espace mental et émotionnel, nous empêchent de vivre ici et maintenant et de désirer demain. Recontextualisez donc ces regrets et analysez-les pour mieux les déconstruire, pièce par pièce ! Vous sortirez, dès lors, d’une position passive et vous recentrerez sur votre désir actuel.

Clé n°3 : apprenez à gérer vos ratages.

Ne vous considérez pas comme le nombril de votre échec : c’est votre projet qui a échoué, pas vous ! N’imputez pas tout à votre mauvaise stratégie : un contexte défavorable peut, aussi, expliquer votre déconvenue. Mais ne tombez pas dans le déni ! Faites avec la réalité, qu’elle vous plaise ou non. Analysez-la et acceptez la. Là où les pessimistes ruminent, ressassent et songent à «tout laisser tomber», les optimistes trouvent l’opportunité qui se cache derrière la difficulté. En bref, brisez le tabou de l’échec : il est utile, car il vous permet d’avancer !

Clé n°4 : adoptez un comportement actif.

Qu’il est parfois tentant de «laisser faire les choses», en espérant que le sort décidera pour nous. Et si vous élaboriez plutôt une stratégie ? Tranchiez cette question latente et faisiez un choix ? A l’inverse d’une attitude passive, un comportement actif valorise l’image de soi, la confiance et la vision d’avenir. Que la situation soit inquiétante ou prometteuse, posez-vous cette question : «Que puis-je faire maintenant ?»

Clé n°5 : osez !

Ecoutez vos envies et n’ayez pas peur des opportunités ou du changement. Bannissez l’adjectif «petit» de votre vocabulaire et osez rêver grand ! «Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait», écrivit l’auteur Mark Twain. Sautez dans le vide… et vous verrez qu’un filet apparaîtra !

Clé n°6 : usez de votre pessimisme latent comme d’un garde fou.

Celui qui nous pousse à voir le verre à moitié vide n’est pas si malintentionné. Utilisé à bon escient, il est anticipateur puisqu’il nous oblige à considérer des facteurs d’échec possibles que notre enthousiasme nous conduit parfois à minimiser ou ignorer. Écoutez cette voix intérieure méfiante et prenez en compte ses avertissements. Elle vous aidera à devenir lucide et à parvenir à vos fins malgré les embûches.

Clé n°7 : entourez-vous de personnes positives.

Il est primordial, lorsque l’on travaille en indépendant, de bien s’entourer. Ne misez pas que sur l’entourage proche, qui, involontairement, vous transmettra ses angoisses et sa peur de l’échec. Rapprochez-vous plutôt d’autres entrepreneurs. Leurs exemples, énergie et enthousiasme vous contamineront. Le positif appelle le positif ! Et quoi de mieux que la multiplicité  pour découvrir son unicité ?!

Clé n°8 : cultivez les petits plaisirs.

Adonnez-vous à vos loisirs favoris, savourez la beauté du monde et des êtres. Vous en deviendrez plus créatif et plus performant. Riez car le rire est anti-stress et réparateur. Cultivez la joie, essence du succès. En un mot, soyez heureux ! Comme disait Voltaire : «J’ai décidé d’être heureux car c’est bon pour la santé».

Conclusion ?

Profitez de votre statut de salarié porté, qui vous libère des contraintes administratives, pour travailler votre optimisme. Changez vos convictions de base, vos réflexes primaires et votre comportement pour vous construire un «optimisme intelligent». Ne vous cachez pas, en effet, derrière cet autre positivisme qui, fait de méthode Coué et formules incantatoires -«Je vais bien, tout va bien !»-, n’est qu’illusion. Forgez-vous cet optimisme de fond qui fera de vous un entrepreneur réaliste, lucide, anticipateur, combatif, ennemi des préjugés et des certitudes.

Et comptez sur Altros pour vous accompagner sur ce chemin de la réussite !

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